Le théâtre, devenu très libre, est très divers ; voici quelques repères, non exhaustifs, en guise de jalons.
Jules Romains 😉 écrit une comédie satirique dans la tradition de Molière, Knock (1923), 😉 mise en scène et interprétée par Louis Jouvet, où il dénonce le charlatanisme de certains médecins et la crédulité des patients.
Jean Giraudoux 😉 transpose les mythes antiques dans le monde de son époque pour exprimer les interrogations profondes de l’homme moderne (guerres, exclusions…), comme dans La Guerre de Troie n’aura pas lieu (1935). 😉
Albert Camus 😉 met sur les planches sa réflexion philosophique : par exemple, Les Justes (1949) 😉 examinent la question de la légitimité de la violence dans l’action politique.
Samuel Beckett 😉 écrit En attendant Godot (1953), 😉 qui montre l’absurdité de la condition humaine et de la vie en général, celle-ci menant à la mort. Ce théâtre de l’absurde est caractérisé par la présence d’anti-héros.
Paul Claudel, 😉 né à Villeneuve-sur-Fère, dans l’Aisne, exprime sa foi chrétienne dans une pièce baroque et énorme (onze heures de représentation), Le Soulier de satin (1943). 😉
Au sortir de la seconde guerre mondiale naît le théâtre populaire, porté par Jean Vilar 😉 au T.N.P., acteur, metteur en scène, créateur du festival d’Avignon. Subventionné par l’État, il vise à mettre le théâtre à la disposition de tous. Parmi ses héritiers, on compte des figures comme Ariane Mnouchkine 😉 (Théâtre du Soleil), Robert Hossein 😉 (Comédie de Reims)
Enfin, de nouvelles écritures théâtrales mettent en avant une réflexion sur les rapports humains, sociaux et familiaux, ainsi que sur le langage théâtral, sa mise en scène, par exemple dans Art
😉
de Yasmina Reza
😉
(1994).