LE THÉÂTRE AU XIXe

Les dramaturges romantiques refusent les règles classiques et désirent une liberté totale de l’invention et de la forme théâtrale, comme le théorise Victor Hugo dans la Préface de Cromwell.

Ce drame romantique, le plus souvent historique, mêle le tragique, le pathétique, le comique afin de représenter le monde dans sa totalité, à la fois grotesque et sublime.

L’effet dramatique vise à émouvoir le spectateur, en faisant appel à sa sensibilité. L’action se déroule dans de multiples lieux, décors intimes, mais également dans la nature.

Le héros romantique est un être déchiré, torturé, en proie aux passions, mais souffrant aussi d’aspirations contradictoires, comme Lorenzaccio, 😉 dans le drame de Musset, 😉 ou Ruy Blas, le héros de Victor Hugo. 😉 La première d’Hernani, 😉 d’Hugo, fut l’occasion d’une bataille intellectuelle et physique.

Le vaudeville est une comédie populaire légère, pleine de rebondissements, sans intentions psychologiques ni morales, fondée sur un comique de situation : quiproquos, jeux de mots et péripéties se succèdent à toute allure. Ses deux représentants les plus connus sont Eugène Labiche 😉 (Un chapeau de paille d’Italie) et Georges Feydeau 😉 (Le Dindon). 😉 😉

Le XIXe connaît aussi le drame bourgeois, un théâtre naturaliste, un théâtre symboliste.

A la fin du siècle, dégagés de toute règle, les dramaturges créent en toute liberté. Georges Courteline 😉 dénonce les tracasseries administratives, la justice ou l’armée (Les Gaietés de l’escadron 😉 ). Alfred Jarry, dans Ubu roi, fait la satire féroce de toutes les formes d’autorité. Edmond Rostand 😉 fait renaître le théâtre romantique avec Cyrano de Bergerac. 😉 😉

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